Ce qui est pénible avec les conducteurs de becak mais pas qu'eux, outre le fait de devoir négocier en permanence le prix du trajet, c'est qu'ils veulent toujours nous faire arrêter dans des magasins de batiks (tissus traditionnel Indonésie), de bijoux en argent, des galleries d'art ou fabriques en tout genre. Il faut insister en permanence pour qu'ils nous amènent directement à la destination finale. Cela leur permet en fait de toucher des commissions pour arrondir les fins de mois qui sont sûrement très faibles.